잠수 일지 (;journal du plongée)

À la dernier samedi, je suis allé au rue Garosu, pour vendre les produits de beautés que j'avais reçu comme des cadeaux. Après avoir quitté de travail temporaire à la fin d'Octobre, automatiquement encore une fois, je recommencer avoir certaines inquiétudes surlaquelles je n'ai aucune d'argent pour la vie quotidienne.

Alors, au lieu de chercher l'autre noveau travail(hors de travail au court temps), j'ai décidé ce que je vende quelques objets dont je ne servit pas. Je pense qu'il sera un peu facile si je chercherais un client qui connaisse bien ce valeur des produits. Je considérait un lieu je vendrai et avais l'idée qu'il faut aller dans un lieu luxureux comme je doit tirer des

intérêts de gens riches.

Il était beaucoup de gens dans la rue malgié un jour ordinaire. Au contraire avant arrivé de la rue, j'étais un peu furieux comme je doit faire de commerce surlaquelle je n'ai aucune expérience. Je me parlais ce que je suis bien et sera bien.

D'abord, je devait choisir un lieu danslequel j'y vendre. Et, je découvre un bon lieu qu'il y a une boutique fermée. Il y avait un petit escalier surlequel je devrait s'assesoir. Mais, certaine femmes mince de l'autre côté de la rue me criait à haute voix, il y a déjà un propriétaire sur cet lieu ,dès lors que je commençasse déposer les produits. J'en était réduit à reculer de là-bas.

En essayand d'oublier une petite honte, j'errais entoure de la rue. Dexieme fois, j'installé dans un coin où les gens ne fréquentés beaucoup, il n'y a pas de gens qui me empêcherait et mais aussi qui avais possible d'acheter mes produits. Je cherchais de viser les passages mais au fil de temps, je me trouvais ce qu'il soit inutile de tenter de vendre ici.

J'ai déplacé sur l'autre lieu foisonnant des gens, et  j'installé un jardin ouvert au public devant un bâtiment, à côté de jeune homme qui vendait des gateaux  en chocolats pour le 11 septembre, s'appelle 'Pe-Pero day'. 

Je retirais les objets, et bien rangeais. Et, je commençais crier comme ca,

"Achetez, Achetez, des crème pour les spécilalistes."

Mais, les gens chics, les gens de Gang-Nam ne regardaient pas et n'avaient aucune curiosité des produits en prix réduit . Je voulait rennoncer il y avait deux heures. Mais, de plus en plus une lumière solaire me faisait chauffait, alors je décidé avoir plus d'attitude calme en attendant quelque client en lisant un livre dont j'apporte.

Mais, il était aussi difficile de lire comme il y a beaucoup de passant dans la rue qui étaient prét  à jouir avec ses amies ou ses familles ou ses amours. Un moment je levait la tête, j'apercevais un homme venant sur l'autre côté de la rue, et quelque instant, je reconnait ce qui soit un camarade de  l'université. Je ne l'aime pas vraiment comme s'il avait l'air un peu trop de fierté, semble arrogance.( Il était né en Jin-Joo était reconnu comme un région trop conservé.) Et, je ne pouvait pas avoir impression ce qu'il me respectait. 

En tous cas, une fois que j'aie rencontre un homme inattendue, comme une camarade(bien qu'il soit passé absoluement) je tentais de sourire et faire bon accueil de lui. Mais, il n'a aucune chaleur. Il me parlé ce qu'il travaillé dans ce building, dans une société de publicité devant j'installé.

Quelle coïncidence merde!

J'étais maintenant vendre quelquchose ne se vendra sur la rue froide comme un vagabonde, il entrait avec un marge dans un bureau comfortable. Il m'a parlé ce qu'il était marrié et me posait certain questions formellement. J'ai répondu ce que je fuisse ambigue. Et puis, il m'a parlé comme une drôlerie malgré nous nous ne soient pas une relation qui puisse faire plasanter. 

"Se marrie."

Il est impossible de changer l'homme avec le temps passé. Il était encore impoli de moi, et n'a aucune attention sur l'autre personne. Quel état d'esprit dont il avait, qui le laisse parler à une camarade qu'il ne puisse pas rencontre longtemps?

Si je me marie ou ne me marie, il est mon sujet trop privé, ni son sujet. 

Je m'étais froissé que j'aie rencontre un homme inattendu,pour comble d'infortune, je tombais en mauvais en écoutant ses paroles que ne passer dans le cerveau de lui.

Aussitôt qu'il sortait sur son bureau, je fourrais mes produits dans un gros sac, je suis allé chez moi. Je me regrette retardement ne pas réagir forcement sur sa attitude arrogante. Tant pis.