SEORAE village

Il était une société du vente que le patron soit un mari, et la directeuse à l’hauteur soit sa femme, c’est à dire, il n’y pas de regles precises dans là, et quelque soit du temps, il pourrait faire ce qu’il voulent faire avec peu de responsablilte comme s’il etait situer chez eux.

Quand je faisait l’entretien avec une chef en seconde, elle s’appelle Kong daeri, elle m’a demandé pourquoi j’ai déposé mon c.v sur cette société. Alors, je me souviens que j’ai répondu quelque prétexte plausible. En tous cas, apres quelque jour était passé, j’ai accepté une annonce d’admission du travail à temps partiel.

Dans là, je me chargeai un travail de livraison du produit sur plusieur site internet(environ 30 site ), et préparer des enballages du produit. Des lors que j’ai commencer travailler, je m’ai trouvé ce qu’il soit approprié pour moi parce que je maniais des cartons du papier. Je faisais des emballages avec des cartons comme si je faisais les oeuvrages. Au fil du temps, les mains être plus grosière et une part du bout des ongels être plus se séparer.

Et plus, les liens avec des employées de la société n’étaient pas bon comme s’il est un lien entre l’eau et l’huile. De temps en temps, elles m’a posaient des questions par rapport Français, mais c ‘est tout. Il n’y pas de chose commune entre eux, ne pourait s’approcher. Je me sentais souvent ce qu’elle me regarde comme une godiche, et parallement je les regarde comme une femme faire ostentation.

Le patron joignait les autres Françaises par téléphone, mais lors que je travaillais, quand il reçu une appel, je ne pourrais assurer, il était sorti chez bureau pour continuer du coup de fil. Il me semblait qu’il n’aime pas sur ce qu’une employée piétaille avait une compétene pas nécessaire.

Ajoutez à cela, les clents du site internet étaient en bas, pour des raison que je ne connais pas. C’est à dire, les charges de moi en train de disparaître.

 Pourquoi le sombre pressentiment était toujours ne pas echapper ?

Un jour, une argente m’a parlé avec des pincettes, il vaut mieux ce que je me quitter d’ici, puisqu’il ne suffit pas pour sourtenir une position de livraison sur Internet.

Pas aucune avis préalable ! peut-être, je devrais prendre meusure contre une sorte de situations inattendues(est-ce qu’il soit mieux que je doit sortir avant que j’fusse renvoyé ?), ou devrais m’apercevoir telle résultat parce qu’avant je quitté sur un job, une directeuse en seconde était déplacé sur autre société. Je m’ai supposé ce que la société passera chavirer, pasce que tout employée se pleuraient ensemble. Mais il y avait, seulement une femme faisait démenagement.

En tout cas, je me faisais revoyé de ma position de livraison en un jour sans du temps de chercher les autres travails. Au début, je n’aimais pas de ce trvavil en niveau bas, et plue je me sentais un absurdité que je dusse faire ce travail comme des raisons ce travail était trop simple, et n’était absolument stimulant intime.

Mais je pensais ou éssayais penser ce qu’il soit plus mieux qu’enseinger chez collège en côtoyant les enfants méchants qu’ils soient toujours apprêter à écacher moi comme une pomme de terre. Et, il y avait une mérite que je pourrait entendre du radio france en essayant de comprendre du sens.

 

En sortant, je voulais exigser fortement des excuses puisqu’il’ serrait ne faire revoyer comme ça, si je suis française et il était en France pas en Corée. Bien que le patron soit un français, il devenu un coréen qu’il ne pas considérer un emplyée à temps partiel comme un homme avoir le droit raisonable.

Mais mallheusement, mon capacité n’était bon pour en parler et affirmer. Et, au lieu d’exposer mer grief, je sourirais à lui en parlant ‘ Bon courage~ ! ‘.

BON COURAGE...

Je m’ étais extravagant en moi-même sur cette parole, mais je me retrouvé mes caractères que je faire déguiser en situation male, et faire échapper telle situation confondue qui pourrait provoquer des conflits nécessaire pour résoudre des problème.

Un seul coup, je suis devenue une chomeuse.

En attendant un bus qu’il va chez moi, j ‘ai regargé deux vieux hommes qu’il étaient debout en avant club privé de remise en forme. Malgres ils avaient les visages ridés, parallement ils avaient une voiture étrangerère et se portaient des vetements très luxurieux.

Il était certain ce qu’ils soient riches que je n’en avait eu jusq’au maintenant.

J ‘avais une jeunesse tel que je suis, mais ils peinaient à l’avoir.

C’ est un peu ironique cette situation entre eux et moi(bien sur, ils ne s’inqui ).